Information des vaccinés

Information des "vaccinés" sur le rapport bénéfice/risque avec le "vaccin" Pfizer, 18 choses à savoir sur votre abonnement à un vaccin Pfizer tous les 6 mois

Le 5 septembre 2021
L’âge moyen au décès associé à la COVID19 est de 80 ans. L’âge moyen des myocardites (inflammation du muscle du coeur) associées au « vaccin » Pfizer est de 39 ans au 16/6/2021 !
Alors que tout le monde reconnait maintenant que l'"immunité collective" qui pourrait être atteinte par la "vaccination" est un leurre, que le vaccin ne réduit guère le risque d'être infecté ou contagieux, a t'on fait prendre des risques inconsidérés à des jeunes pour protéger les plus vieux ?
Les mères de famille qui font "vacciner" leurs ados pour qu'ils puissent suivre leur cours de judo du 30 septembre (jusqu'au 15 novembre en principe) ont elle conscience d'un tel "sacrifice" ?
Le bon sens, c'est que, comme pour tout médicament, on le prend en fonction du rapport bénéficie/individuel que l'on en tire, pas pour faciliter l'organisation des écoles, club de sport ou pour satisfaire l'agenda politique d'un ministre délirant.
Les jeunes n'ont guère de risque de développer des formes graves de la Covid-19 mais les vaccins augmentent considérablement leurs risques, notamment de myocardite, péricardites, thrombose et comme vu plus haut, il n'y a pas de bénéfice collectif créé par la vaccination massive des jeunes, cela sélectionne au contraire des variants résistants qui peuvent attaquer les plus fragiles.
Cette page présente un document de 2 pages (flyer) rassemblant des informations sourcées, vérifiées et actualisées qui reprennent les recommandations officielles ou indépendantes et sérieuses afin qu'un consentement pleinement éclairé soit délivré avant "vaccination".

risques de la vaccination

Vaccinés ou futur vacciné Pfizer ou Moderna, savez-vous que ?

Cliquez sur chaque titre pour avoir des explications et des sources vérifiables

Extraits marquants du dernier rapport de pharmacovigilance de 18 pages du 27/08/2021 sur https://ansm.sante.fr/uploads/2021/08/27/20210824-vaccins-covid-19-fiche-de-synhte-se-vf.pdf :
Synthèse des faits marquants pour la pharmacovigilance de l'ANSM du vaccin Pfizer au 27/08/2021

Les myocardites ne sont pas des pathologies bénignes qui disparaissent rapidement, ainsi une étude australienne de 2004 portant sur l'autopsie entre 1994 et 2002 de 193 jeunes âgés de 35 ans au plus ayant subi dont la mort subite était inexpliquée et étaient classée comme arrêt cardiaque soudain inexpliqué a montré que ces morts ne résultaient pas de malformations cardiaques insoupçonnées mais dans 12% de myocardites (Causes of sudden cardiac death in young Australians).
De multiples cas de inexpliquées sont mentionnées dans la pharmacovigilance du "vaccin" Pfizer.

La moyenne de 80 ans au décès associé à la Covid19 résulte des données de l'agence officielle Santé Publique France dans ses rapports hebdomadaires.
La moyenne d'âge de 39 ans résulte de l'analyse des cas associés à une myocardite pour le vaccin Pfizer dans l'export de la base de données de pharmacovigilance au 16 juin 2021 (4598 pages) obtenue suite à une requête d'accès aux documents administratifs

Les incitations à la surveillance sont encadrés dans le rapport du 27/8/2021 de la pharmacovigilance de l'ANSM cité plus haut
Voici la liste des effets indésirables des vaccins les plus fréquents :

Effet indésirable
1 Syndrome grippal
2 Céphalée
3 Asthénie
4 Nausée
5 Douleur au site d'une vaccination
6 Fièvre
7 Myalgie
8 Vomissement
9 Diarrhée
10 Hypertension artérielle
11 Frissons
12 Malaise
13 Zona
14 Tachycardie
15 Vertige

Source : export de la base de données de pharmacovigilance au 16 juin 2021 (4598 pages) obtenue suite à une requête d'accès aux documents administratifs

En Suisse, Pfizer a même écrit aux médecins pour les inciter à effectuer un suivi médical post-vaccination :

Certains prétendaient péremptoirement que tous les effets indésirables des vaccins étaient connus au bout de 2 mois d'utilisation, celas'est avéré faux puisque comme vu plus haut, la FDA a listé en juillet 2021 de nouveaux effets indésirables.
De plus, comme l'administration des vaccins a commencé chez les personnes âgées, ce n'étaient pas possible de détecter chez ces personnes des effets indésirables affectant des personnes jeunes (notamment tout ce qui est lié à la reproduction).
Les effets à long terme dans certains domaines ne peuvent bien entendu pas être détecté en simplement quelques mois, il s'agit notamment des problèmes de fertilité ou des maladies qui évoluent habituellement lentement, telles que le cancer ou certaines maladies neurodégénératives (Parkinson...)
Il est cependant vrai que les méthodes traditionnelles de la pharmacovigilance ne sont pas adaptées pour imputer de tels effets secondaires à moyen ou long terme car la principale méthode d'imputabilité repose sur la coïncidence chronologique, qui est pénalisée par le fait que si quelqu'un a un effet indésirable par exemple 1 mois après une injection vaccin, il y a de fortes chances qu'il ne le déclare pas car il ne fera pas lui-même de relation.
Pour détecter de tels effets à long terme, il convient soit de faire des comparaisons historique de taux d'incidence, ce qui pose le problème d'imputabilité puisque l'origine peut être multi-factorielle, soit de faire des comparaisons de taux d'incidence entre le groupe des vaccinés et le groupe témoin des non vaccinés, ce qui suppose qu'il reste un groupe de non vaccinés et que ce produit expérimental n'est pas obligatoire, sinon on ne connaîtra jamais les effets à long terme
Et donc le "vaccin" ne pourra jamais être incriminé dans telle ou telle pathologie, faute de preuves, ce qui pousse les adeptes de la vaccination à pousser à son caractère obligatoire pour garantir une impunité.

Pour l'heure, l'ANSM continue à collecter plus de données sur ces effets indésirables notifiés, pour lesquels elle a détecté des signaux potentiels :
Signaux potentiels ou événements sous surveillance :
● Zona
● Troubles du rythme cardiaque
● Thrombopénie / thrombopénie immunologique / hématomes spontanés
● Déséquilibre diabétique dans des contextes de réactogénicité
● Echecs vaccinaux
● Pancréatite aigüe
● Syndromes de Guillain-Barré
● Syndrome d’activation des macrophages
● Réactivation à virus Epstein-Barr
● Méningoencéphalite zostérienne
● Aplasie médullaire idiopathique
● Hémophilie acquise
● Polyarthrite rhumatoïde
● Néphropathies glomérulaires
● Troubles menstruels

Evénements sous surveillance chez la femme enceinte ou allaitante :
 Evènements thromboemboliques
 Contractions utérines douloureuses
 Morts in utero
Source Rapport sur la pharmacovigilance des vaccins au 27/8/2021

Ouest France/AFP : pas de vaccin anti-covid pour les 12-15 ans en bonne santé

Voir la (copie écran extraite au 27/8/2021)
cas où le vaccin Pfizer est déconseillé (source Base Claude Bernard) au 27/08/2021
Extrait fiche Pfizer Cominarty dans la base BCB au 27/08/2021
Page accueil Base Claude Bernard

Le vaccin était censés réduire les cas symptomatiques de la maladie, c'est-à-dire le nombre de personnes infectées ayant des symptômes (perte du goût ou de l’odorat, fièvre, toux, difficulté à respirer…).
En pratique, une étude israélienne indique que l’efficacité de 95% alléguée donc de division par 20 du nombre de cas asymptomatiques, serait en fait beaucoup plus modeste plus proche de 41% pour réduire le nombre de cas symptomatiques avec le variant Delta (Source : voir graphique issu de cet article de Ouest-France datant du 17/08/2021) , soit pas grand-chose puisque au lieu de diviser par 20 le nombre de cas symptomatiques, cela ne réduit même pas par 2, et les donnnées plus récentes sont encore moins rassurantes puisque le nombre de cas journalier a dépassé le plus haut historique.
De plus, les récentes études sur le regain d’épidémie dans des pays très vaccinés comme Israel et l’Islande montrent que les vaccins ne réduisent pas significativement le nombre de cas.

Critère gravité Astrazeneca Pfizer Moderna Janssen Total
Mort 3 180 7 017 3 470 503 14 161
Mise en jeu du pronostic vital 6 963 8 024 3 848 949 19 761
handicap/ incapacité 19 831 13 404 4 001 749 37 950
anomalie congénitale, naissance défectuese 112 137 81 5 334
A causé hospitalisation prolongé 18 234 30 174 12 575 2 273 63 158
Médicalement significatifs 140 472 101 644 27 465 4 187 273 601
Cas graves 188 792 160 400 51 440 8 666 408 965
Cas non graves 178 332 241 106 55 620 17 184 492 015

Source base de données européenne officielle Eudravigilance C-19 au 04/09/2021 mis en forme par https://www.data-like.com/

Pour ceux qui rapporteraient cela aux morts de la COVID19, il est rappelé que l'âge moyen au décès associé à la COVID19 est de 84 ans, qu'en France, pour qu'une mort soit associée à la COVID19, il n'est pas requis qu'il y ait eu un dépistage, mais juste une "suspicion", de fait 30% des morts en juin 2021 n'avaient pas été dépistés. La très grande majorité des morts avaient une espérance de vie résiduelle inférieure à un an.
Le fait que la Covid19 soit associée à la mort, n'indique pas qu'elle soit la cause de la mort car d'une part la plupart des morts avaient des comorbidités (cancer, problèmes cardiaques...), souvent multiples,
d'autre part, pour les morts associées à la Covid19, cette dernière apparait rarement comme l'une des causes de la mort sur les certificats de décès et encore plus exceptionnellement comme seule cause de la mort.

En Ecosse (pays de 5.4 millions d'habitants), entre le 08/12/2020 et le 11 juin 2021, 5 522 personnes sont mortes dans les 28 jours suivant l'injection d'un vaccin contre la COVID19 !
Cela ressort d'un document officiel obtenu suite à la demande d'un citoyen ecossais

En effet, si on se fait injecter un vaccin, par définition, on n'a pas la maladie, donc pour que la balance bénéfice/risque soit favorable, il faut que :

  • que le risque d'attraper la maladie sans ce vaccin soit élevé
  • que la maladie provoquée par le virus soit très dangereuse dans mon cas de figure
  • que le vaccin n'aggrave pas la maladie si on est déjà infecté (ce qui n'est pas établi en l'espèce, d'où les dangers de se vacciner en période épidémique)
  • que les inconvénients du vaccin soient nuls ou considérablement plus faibles que la maladie que l'on veut éviter

Entre mai 2020 et juillet 2021 (15 mois), seuls 9.3 % des français ont été dépistés positifs, le "vaccin" Pfizer n'a été testé que pendant 2 mois. Les récentes données indiquent que si il protégerait des formes graves alors cette protection ne dure pas longtemps, au mieux 6 mois, soit en moyenne 3 à 4 mois.
Si on rapporte cette durée de protection estimée au taux historique de dépistage, vous n'auriez que 2.17 % de chances d'attraper un virus dans les 3,5 mois qui viennent.
Donc pour que le "vaccin" présente un bénéfice risque favorable, il faut qu'il soit 46 fois plus sûr que le vaccin, or pour les moins de 50 ans, les dépistés positifs ont des chances infiment de contracter des formes graves, ils n'ont que des symptômes léger.
Quel est l'intérêt, alors que l'on n'est pas malade, de se faire injecter volontairement un produit qui produit des effets secondaires très fréquents pour éviter une infection dont l'éventualité est rare, dont le pronostic est favorable pour les jeunes (mortalité infime chez les moins de 50 ans) et dont l'efficacité du vaccin pour réduire les formes graves est peu probante ?

Les principaux traitements contre la COVID-19 utilisés dans le monde utilisent des médicaments éprouvés et sûrs, massivement utilisés depuis très longtemps et dont la sécurité est bien connue :
Les traitements précoces les plus utilisés sont l'ivermectine, l'azithromycine, le zinc, l'hydroxychloroquine, la vitamine D, la vitamine C, des anticoagulants et de multiples études confirment leur efficacité.

Les gouvernements ont déjà commandé ou réservé 8 doses par personne, il va bien falloir les écouler en se targuant d'une durée de protection limitée des vaccins.
Alors que la mortalité du coronavirus est maintenant similaire à celle de la grippe saisonnière, mais que les vaccins proposés sont beaucoup moins sûrs et efficaces, êtes-vous réellement sûrs de vouloir vous engager de la sorte juste pouvoir continuer certains de vos actes de la vie quotidienne ?
Bien que la loi interdise l'obsolescence programmée, l'obsolescence des vaccins permet aux labos de générer des revenus récurrents, les guignols de l'info avaient de longue date décrit ce business model :

C'est ce qu'a affirmé Patrick Cohen le 30/08/2021 sur France 5 devant Olivier Véran qui ne l'a nullement contredit.

La loi impose que vous délivriez un consentement libre et éclairé (article L111-4 du Code de la Santé Publique)
Exemple de document requis au CHU de Quimper :
information consentement éclairé avant vaccination Pfizer au CHU de Quimper
Cependant, les autorités sanitaires ne veulent pas que la loi soit appliquée car cette information objective dissuaderait certains à se faire vacciner. Mais tout le monde doit appliquer la loi et le consentement libre et éclairé est requis, surtout que le vaccin Pfizer reste expérimental puisqu'il ne bénéficie que d'une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, d'une durée d'un an et qu'il doit produire des études complémentaires dans des délais impartis, ce qu'il n'a pas fait.

Les comparaisons de statistiques entre les pays sont disponibles par exemple sur https://www.data-like.com/
Malicieusement, l'ANSM qui s'occupe de la pharmacovigilance, met bien en évidence le lien vers vers le site sur http://signalement-sante.gouv.fr dans la page consacrée à la pharmacovigilance de l'hydroxychloroquine, mais pas sur celle des vaccins !
Copie écran ANSM pharmacovigilance des traitements au 19/08/2021 : présence bouton pour déclarer un effet indésirable
Curieusement, les rapports de pharmacovigilance des vaccins ne rappellent pas l'abondante sous notification des effets indésirables alors que les autres rapports le font !


Le site http://signalement-sante.gouv.fr dit pourtant "Patient, consommateur ou usager vous pouvez participer à l’amélioration de la qualité et de la sécurité du système de santé en signalant sur ce portail les événements sanitaires indésirables que vous suspectez d’être liés aux médicaments, dispositifs médicaux, produits de la vie courante ou de l'environnement, actes de soins (dont infections associées), produits de tatouage, cosmétiques, compléments alimentaires, sustances psychoactives"

Lors de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 31 mai 2021, les réparations des effets indésirables des produits de santé recommandés (à savoir les vaccins) lors de cette crise étaient pris en charge par l'état, ce dispositif est prévu par les articles L3131-3 et L3131-4 du code de la santé publique.
Cependant l'état d'urgence sanitaire est terminé en métropole depuis le 1er juin 2021 et c'est un autre régime qui s'applique : celui de la loi du 31 mai 2021 de "gestion de (sortie) de crise sanitaire"
Ce régime copie quasi intégralement le régime de l'état d'urgence sanitaire sauf qu'il n'a pas repris la garantie de l'état.
En conséquence, si vous avez un pépin avec le vaccin, vous n'aurez aucune indemnisation de l'état.

Dans le cas de la vaccination obligatoire des soignants (article 12 de la loi du 5 août 2021), l'article 18 de la loi du 5 août 2021 prévoit la garantie de l'état
Sauf que cette garantie peut difficilement être mise en oeuvre pour l'instant parce que l'état n'a pas publié le décret d'application prévu par l'article 12 II instituant cette vaccination obligatoire , ce décret doit indiquer, après avis de la Haute Autorité de Santé, le schéma vaccinal obligatoire pour les soignants.
Certains pourraient arguer qu'il n'y a pas d'incertitudes sur les vaccins à utiliser dans le cadre de la vaccination obligatoire, c'est totalement inexact, par exemple, la Haute Autorité de Santé a rendu un avis, disant qu'une dose du vaccin Janssen ne suffisait pas et qu'il faut une autre dose, d'un vaccin ARNm, sans aucune justification scientifique par dessus le marché.
D'autre part, ce décret peut indiquer à quel moment les soignants peuvent être soumis aux 3ème, 4ème (etc...) doses, puisque l'obligation vaccinale des soignants n'est pas limitée dans le temps
Ceci dit, les soignants peuvent considérer que faute de décret d'application et de garantie de l'état, ils ne sont pas soumis à l'obligation vaccinale.

L'article 221-5 du code pénal puni sévèrement l'empoisonnement, qui est défini comme "l'emploi ou l'administration de substance de nature à entraîner la mort" il s'agit d'un crime puni de 30 ans de prison.
Vu les énormes pressions sociales en vue d'évincer ceux qui ne sont pas vacciné et de les considérer comme des pestiféré, cela s'analyse comme un contrainte morale, l'article 312-1 du code pénal réprime de 7 ans de prison l'extorsion (ou la tentative) d'engagement sous contrainte morale.

Flyer

Flyer de 2 pages recto-verso, reprenant ces faits.

Ce flyer de 2 pages recto-verso, reprend la plupart des informations citées plus haut, mais la présentation est améliorable.